mardi 2 mai 2017

TRÈS IMPORTANT LIRE CET ARTICLE. CELA CONCERNE LA DÉFENSE DE F.FILLON.  MERCI 
Louise Georges Var
 Les termes de" coup d’Etat institutionnel" définissent parfaitement les manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.

Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.

Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables.

Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un "détournement de fonds publics" est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.

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