François Fillon est
"sauvé" ! "Convaincant, habile politiquement, même s'il y a eu quelques
arrangements avec la vérité" a jugé Nathalie Saint-Cricq sur France 2,
qui n'écarte pas une "nouvelle crise sous quinze jours s'il ne remonte
pas dans les sondages". Alexis Brézet du Figaro salue ce matin un
"moment de vérité". "On le disait fini, à terre, condamné à encaisser
les coups jusqu'au KO, on avait tort", écrit-il. Donat Vidal Revel du
Parisien est plus nuancé, reconnaissant "un acte d'autorité" de Fillon,
"un appel au pragmatisme politique". "Il a été bon, il a su faire passer
les bons messages", s'est emballé Jean-Sébastien Ferjou d'Atlantico sur
le plateau d'iTELE.
C'est sur BFMTV que l'enthousiasme était le plus marqué. "C'était inespéré (...) Le patron, c'est Fillon", a estimé Anna Cabana. Eric Brunet, de la même maison : "Je respire. François Fillon est précis, vrai, émouvant". Il valide aussi sa thèse de l'acharnement. "Oui, on peut parler de lynchage. La médiasphère a frappé trop fort", a-t-il commenté, alors que sa chaîne, BFMTV, tourne en boucle sur l'affaire Fillon depuis dix jours. L'éditorialiste revoit même Fillon au second tour, ouf !
Ruth Elkrief a elle critiqué "la demande un peu totalitaire de transparence" de l'opinion et des médias, "à laquelle il faut en partie répondre". Il fallait attendre 20 heures pour des analyses plus nuancées sur BFMTV. "Sur le plan politique, c'est une opération réussie, il a réuni son camp, il ira jusqu'au bout quoi qu'il arrive", a commenté Laurent Neumann.
C'est sur BFMTV que l'enthousiasme était le plus marqué. "C'était inespéré (...) Le patron, c'est Fillon", a estimé Anna Cabana. Eric Brunet, de la même maison : "Je respire. François Fillon est précis, vrai, émouvant". Il valide aussi sa thèse de l'acharnement. "Oui, on peut parler de lynchage. La médiasphère a frappé trop fort", a-t-il commenté, alors que sa chaîne, BFMTV, tourne en boucle sur l'affaire Fillon depuis dix jours. L'éditorialiste revoit même Fillon au second tour, ouf !
Ruth Elkrief a elle critiqué "la demande un peu totalitaire de transparence" de l'opinion et des médias, "à laquelle il faut en partie répondre". Il fallait attendre 20 heures pour des analyses plus nuancées sur BFMTV. "Sur le plan politique, c'est une opération réussie, il a réuni son camp, il ira jusqu'au bout quoi qu'il arrive", a commenté Laurent Neumann.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire