10 ans ferme pour le buraliste qui a osé se défendre, pendant qu’on libère les vrais criminels
La criminologie critique propose une analyse « radicale et consciente » des dérives judiciaires de l’État-PS. La nature illusoire de la délinquance a été souvent soulignée. Elle repose sur le fait qu’un comportement délinquant qui affecte des personnes réelles prend le caractère d’une abstraction et d’une « objectivité illusoire » par un système de préjugés pseudo-scientifiques clos et rationnels, et en apparence rigoureux.
L’euphémisation de la délinquance par l’abstraction dissimule toute trace de sa réalité fondamentale.
C’est pourquoi la réalité de l’acte délinquant ou criminel entre dans le domaine de l’abstraction et de la mystification. Cette problématique de l’abstraction pseudo-scientifique de la délinquance est devenue centrale pour la théorie socialo-criminologique moderne de l’excuse. Les conséquences sont « l’abandon de la rigueur méthodologique » qui a résulté des conceptions criminologiques vulgaires de l’État-Providence à la mode.
C’est pourquoi les analyses de la criminologie critique attirent l’attention sur la plupart des problèmes fondamentaux qui résultent du « caractère fétichiste illusoire de la délinquance » traitée sous la forme habituelle de l’abstraction irrationnelle. Il s’agit de lui donner une sorte de masque pseudo-scientifique et une apparence d’objectivité. « Transformer le comportement délinquant en abstraction » crée un problème de compréhension qui ne permet pas de voir la réalité à cause des « problèmes idéologiques qui pourrissent la criminologie« . Et ils sont la cause de son déclin depuis les années 1950, malgré ses manifestations académiques résiduelles.
Avant que le problème spécifique de l’abstraction criminelle puisse être traité pour lui-même, il faut voir clairement que « le problème idéologique du fétichisme de la délinquance est un problème spécifique de notre époque« . Elle a développé la mystification de la criminologie moderne de l’excuse contre le monde réel.
Les comportements délinquants, et leur traduction en abstractions correspondantes, subjectives et soi-disant objectives, existent depuis que les activistes-idéologues compassionnels sont à la manœuvre de l’État-Providence. C’est la promotion de la société de l’excuse et l’encouragement favorable aux délinquants.
Pour les tenants de la criminologie critique, il s’agit de savoir dans quelle mesure les comportements délinquants, et leurs résultats moraux et matériels destructeurs des équilibres précaires du vivre ensemble en société, sont capables d’influencer gravement la vie des gens qui sont sans défense dans les quartiers.
La question de l’accroissement habituel des comportements délinquants, comme la forme dominante des troubles illégaux dans une société de non-droit, ne laisse pas de « questionner la société de l’excuse« , en suivant les habitudes de pensée et surtout les préjugés bienveillants des zélateurs de l’État-Providence.
L’attitude socialo-compassionnelle des élus irresponsables a justifié tous les abus de la « politique de l’excuse » sous l’influence de la forme criminologique dominante, comme « un mal et une solidarité nécessaire » sans réponse pénale possible et transformée en conséquence en simple question psycho-sociale subalterne.
Mathieu Delahousse sur L’Obs : « Adolescent tué par le buraliste de Lavaur : « Un châtiment décidé à l‘avance ». Luc Fournié a été jugé pour avoir tué d’un coup de fusil un adolescent de 17 ans qui tentait de cambrioler son bar-tabac. La cour d’assises de Haute-Garonne a condamné le buraliste à dix ans de prison.
Les motivations du verdict, que « l’Obs » publie, « entendent montrer les limites de la légitime défense« .
« Le « cafetier de Lavaur », Luc Fournié, a été condamné pour avoir tué en 2009 un jeune de 17 ans venu le cambrioler en compagnie d’un autre adolescent. Illustration du débat sur les conditions de la légitime défense aux yeux de la loi, le parquet général avait requis l’acquittement lors du premier procès. Mais il avait changé de position pour ce second procès en requérant à Toulouse une condamnation à une peine de cinq ans de prison, éventuellement assortis de sursis, l’avocat général excluant la légitime défense.
« L’affaire a réveillé les polémiques sur l’autodéfense et a provoqué une libération de la parole sur les armes. La motivation du verdict relève que l’accusé avait bénéficié d’une présomption de légitime défense en raison du cambriolage. (Mais) les circonstances, qui ont « démontré une totale disproportion » dans la décision du commerçant d’utiliser son fusil et de leur tirer dessus, imposent d’écarter la légitime défense… Il s’agissait d’une confrontation armée avec les cambrioleurs » pour leur « appliquer un châtiment décidé à l‘avance« . »
Maîtres Cohen et Maisonneuve ont plaidé pour la partie civile contre le droit de se défendre : « Est-ce qu‘il avait droit de pratiquer l‘autodéfense ? Non. Ce n‘est ni une liberté, ni même une licence, c‘est un crime« .
Comprenez : En France socialo-communiste, la victime des cambriolages n’a ni le droit ni le devoir de se défendre pour protéger sa famille et ses biens. Le droit objectif de « défendre sa propriété » est transformé arbitrairement et frauduleusement en un soi-disant « droit de pratiquer l’autodéfense ». Même si les autorités de la république socialiste ont renoncé à la justice et à la protection de l’ordre public, des biens et des personnes.
Lu dans la presse : « L’injustice des bons sentiments de gauche : Deux mineurs remis en liberté après 224 vols à la roulotte. Et ils vont s’étonner que les Français en arrivent à se faire justice eux-mêmes, la justice « travaillant pour les délinquants »… « Deux mineurs de 17 ans ont été interpellés à deux reprises pour des vols à la roulotte et de dégradations de voiture. Au total, ils auraient commis 224 délits en à peine un mois et demi. Avant d‘être remis en liberté. Au total, 224 plaintes sont déposées pour des faits allant du 3 octobre au 13 novembre. Les deux mineurs sont alors interpellés une seconde fois. Après avoir reconnu leur participation aux 224 faits, ils sont présentés à la justice. Mis en examen, ils sont à nouveau relâchés et placés sous contrôle judiciaire. « À eux deux, ils détiennent environ 20% de l’activité de vols à la roulotte sur une année dans la ville. On est vraiment entre le vandalisme et le vol d’objets à l’intérieur des véhicules », explique une source policière.
La différence entre une société de droit, où la justice exerce une influence décisive pour la protection des citoyens dans toutes les manifestations de la vie en société, et une société de non-droit, où la justice n’a que des « ambitions partisanes contre la discrimination« , est une justification de l’ensemble des phénomènes délinquants. Les objectifs de la justice partisane font qu’elle prend, conformément à cette visée idéologique, des décisions partiales dépourvues d’objectivité, qualitativement différentes de la vérité criminologique.
La justice idéologique est la forme partisane épisodique qui dégrade la confiance des citoyens dans la justice. La justice idéologique souligne fortement ce caractère socialiste partisan, de forme anti-naturelle.
Le processus judiciaire socialiste représente la transformation partisane des valeurs de la justice.
La déformation socialiste partisane du judiciaire est un processus irresponsable qui milite en faveur des délinquants, plutôt que de protéger les citoyens honnêtes, les familles et la population qui travaille. C’est pourquoi cette justice idéologique, dans sa forme socialiste partisane, est vouée à un déclin irrémédiable.
La justice idéologique partisane pourrait condamner le délit d’entrave à la vérité socialiste ! En 2017, l’Assemblée nationale socialiste partisane pourrait examiner un texte qui élargit le délit d’entrave à la vérité de la propagande socialiste. On comprend que la propagande mensongère de la république socialiste en faveur de l’impunité des délinquants continue de déchaîner les passions. Le débat sur la censure souhaitée des sites de réinformation est un mensonge qui a conduit les députés socialistes à nuire à la liberté démocratique du droit à la réinformation. Elle élargit la censure aux supports numériques qui se retournera tout naturellement contre les « sites de propagande socialo-communiste » après l’alternance et l’élection de la droite nationale !
La tyrannie idéologique de l’impunité des délinquants doit soumettre le peuple à la violence criminelle. La tyrannie idéologique de la censure socialiste, qui doit soumettre la population et les familles à la violence politique, relève du bon sens partisan, comme une avancée à propos du délit d’entrave à la propagande socialo-communiste de « l’IVG pour tous » par la ministre des Familles (homosexuelles)… Laurence Rossignol.
Question : Mais en quoi consiste ce délit d’entrave à la vérité socialiste ? Réponse : Toute personne qui tentera d’entraver la propagande de la vérité socialiste officielle et la tyrannie idéologique de l’État-PS.
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