CHRISTIAN JACOB S'INQUIÈTE DES CONSÉQUENCES NÉFASTES DE L'AUGMENTATION DE LA CSG SUR LE POUVOIR D'ACHAT DES FRANÇAIS
23 MAI 2017
Alors qu'Emmanuel Macron reçoit ce mardi les syndicats pour évoquer sa réforme du code du travail, Christian Jacob, président du groupe parlementaire des Républicains à l'Assemblée nationale et président du comité de campagne des législatives, était l'invité de Territoires d'Infos, la matinale de Sud Radio et Public Sénat.
L'occasion pour le député-maire de Provins de marquer son désaccord avec la méthode employée par Emmanuel Macron, celle de passer par ordonnance. « J'ai cru comprendre que le Parlement allait être traité par le mépris », réagit Christian Jacob rappelant que « la loi Travail avait généré des violences partout en France. Il n'y avait pas eu de débat parlementaire puisqu'avant même la discussion, on a déclenché le 49.3. Et là, au lendemain des législatives, ce gouvernement viendrait dire aux parlementaires "Circulez, il n'y a rien à voir " ? », s'est-il emporté estimant qu'il était néfaste pour la démocratie de « vouloir mettre tout le monde sous l'étouffoir ».
Interrogé sur le scrutin des élections législatives qui se déroulera les 11 et 18 juin prochains, Christian Jacob critique sévèrement le projet porté par Emmanuel Macron et tous les candidats d' "En Marche", notamment l'augmentation conséquente de la CSG (près de 2%) qui, après 5 ans de matraquage fiscal de François Hollande, va atteindre le pouvoir d'achat des Français et plus particulièrement des retraités.
« Nous considérons qu'il faut relancer le pouvoir d'achat, donc nous sommes opposés à toute augmentation d'impôts. 23 milliards d'euros de CSG supplémentaires sur le dos, c'est l'équivalent d'un tiers de la recette de l'impôt sur le revenu » souligne Christian Jacob précisant que le projet législatif porté par Les Républicains était « un contrat pour le plein emploi et le pouvoir d'achat avec des marqueurs forts comme la baisse de 10% de l'impôt sur le revenu, la défiscalisation des heures supplémentaires, la baisse des charges pesant sur le travail, le rétablissement de l'universalité des allocations familiales et le relèvement du plafond du quotient familial ».
Lors de cette matinale, Christian Jacob a exprimé sa solidarité envers les proches des victimes de l'attentat terroriste de Manchester survenu dans la nuit de lundi à mardi. « Cela doit nous montrer qu'il faut toujours être extrêmement vigilant dans la lutte contre le terrorisme. Nous sommes toujours en guerre contre le terrorisme et des actes dramatiques comme cela viennent nous le rappeler », relève-t-il soulignant que dans leur projet législatif, Les Républicains souhaitaient passer un contrat « pour protéger la France et garantir la sécurité des Français. Face au terrorisme nous placerons sous surveillance électronique et physique renforcée les fichés S les plus dangereux et expulserons les étrangers en lien avec le terrorisme. Nous voulons augmenter les moyens de surveillance et mettre fin au laxisme pénal en rétablissant les peine-plancher automatiques pour les récidivistes », relève Christian Jacob.
Interrogé sur le scrutin des élections législatives qui se déroulera les 11 et 18 juin prochains, Christian Jacob critique sévèrement le projet porté par Emmanuel Macron et tous les candidats d' "En Marche", notamment l'augmentation conséquente de la CSG (près de 2%) qui, après 5 ans de matraquage fiscal de François Hollande, va atteindre le pouvoir d'achat des Français et plus particulièrement des retraités.
« Nous considérons qu'il faut relancer le pouvoir d'achat, donc nous sommes opposés à toute augmentation d'impôts. 23 milliards d'euros de CSG supplémentaires sur le dos, c'est l'équivalent d'un tiers de la recette de l'impôt sur le revenu » souligne Christian Jacob précisant que le projet législatif porté par Les Républicains était « un contrat pour le plein emploi et le pouvoir d'achat avec des marqueurs forts comme la baisse de 10% de l'impôt sur le revenu, la défiscalisation des heures supplémentaires, la baisse des charges pesant sur le travail, le rétablissement de l'universalité des allocations familiales et le relèvement du plafond du quotient familial ».
Lors de cette matinale, Christian Jacob a exprimé sa solidarité envers les proches des victimes de l'attentat terroriste de Manchester survenu dans la nuit de lundi à mardi. « Cela doit nous montrer qu'il faut toujours être extrêmement vigilant dans la lutte contre le terrorisme. Nous sommes toujours en guerre contre le terrorisme et des actes dramatiques comme cela viennent nous le rappeler », relève-t-il soulignant que dans leur projet législatif, Les Républicains souhaitaient passer un contrat « pour protéger la France et garantir la sécurité des Français. Face au terrorisme nous placerons sous surveillance électronique et physique renforcée les fichés S les plus dangereux et expulserons les étrangers en lien avec le terrorisme. Nous voulons augmenter les moyens de surveillance et mettre fin au laxisme pénal en rétablissant les peine-plancher automatiques pour les récidivistes », relève Christian Jacob.
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