mardi 23 mai 2017

Emmanuel Macron : Déjà 2500 emplois en danger en une semaine ! Encore mieux que Hollande

De Chelles S'éveille blogueur, chelleseveille.overblog.com
 . Economie
 22 mai 2017




macron emploi


Après la tempête…une autre tempête ? Sauf que ce n’est plus celle des élections et des bisbilles mais cette tempête s’avère autant néfaste, surtout quand elle concerne l’emploi.
C’est sur ce principe, que le Président Macron qui est en poste depuis deux semaines, se doit aujourd’hui d’avoir les nerfs solides et être proche des français, chose qui n’a pas l’air trop de lui préoccupé alors que depuis le début de son quinquennat on la vu plus faire coucou aux militaires français au Mali et aller lever le champagne avec l’immonde chancelière Angela Merkel, à croire qu’il a oublié de quel pays dont il est l’élu.
Cependant, les plans de licenciements tant redoutés après les élections vont bon train, car depuis deux semaines les annonces faites, sur des fermetures d’usines et de grands magasins se succèdent et très peu sont les politiques du gouvernement, à part peut être Bruno Le Maire qui a lâché sa droite au profit de sa gauche pour gérer le dossier épineux de l’Economie et de l’Emploi.
Car depuis, le fabricant de sanitaire ALLIA dont deux usines en Saone et Loire et dans l’Aube sont sur le point de mettre la clé sous la porte pour aller construire au Portugal, mettant en péril 256 salariés.
Il y a le médiatique GMS basé dans la Creuse, où les 250 employés menacent de faire sauter l’usine avec des bombonnes de gaz, car malgré les promesses du nouveau Ministre de l’Economie Bruno Le Maire, en provenance de ses contacts envers Peugeot et Renault pour offrir une bouffée d’oxygène en attendant de meilleures négociations, aujourd’hui toujours rien n’est acté et les employés sont toujours sur le qui vive pour faire sauter, par dépit, leur usine.
Un autre dossier bien plus complexe se traine aussi pour l’entreprise TATI, appartenant au groupe AGORA, et qui est spécialisé depuis des décennies dans la vente de produits bon marché, avec son célèbre magasin, dans le quartier délabré de Barbès à Paris, et dont 1550 salariés se trouvent sous la menace de licenciement. Triste peut être, mais il y a un gros bémol qui plane sur ces magasins, au sein de notre rédaction, nous avons un ancien salarié de chez TATI qui a fait un passage de quelques semaines en 2013, et qui témoigne de l’immense bourbier de l’entreprise, entre la gestion des formations totalement calamiteuses dont elle a coopérer avec le CFA STEPHENSON et aussi pour ne pas avoir fait le necessaire contre les vols quasi journalier. Donc admettre qu’envoyé 1550 personnes sur le carreau c’est assez triste, il est avéré qu’à force de vouloir tendre le baton pour se faire battre, ca peut faire mal également.
Enfin, il y a TIM, dans le Nord, ou 493 salariés qui sont dédiés à la fabrication de cabines pour les engins de chantiers dont leurs gros clients comme Caterpillar ou Manitou, sont sur le point de connaître également la fermeture de leur usine et par conséquent d’être renvoyés devant les locaux de Pole Emploi.
A vrai dire, donc il y a déjà un peu plus de 2500 salariés qui sont sur la sellette, un constat préoccupant qui nous rappelle bien la gestion morbide du chomage du quinquennat Hollande que personne n’oubliera, mais qui continue hélas de suivre son cours.
Ce qui peut s’avérer comique, d’un autre point de vu, c’est que durant l’entre deux tours, Marine Le Pen (FN) avait proposé de freiner les délocalisations à coups de taxes, avec comme mots d’ordres « la production française pour les français », chose qui aurait pu aujourd’hui mettre en lieu sûr des entreprises qui se voient aujourd’hui avec l’ère Macron toujours aussi libre de jouer avec la vie de ceux qui font vivre les entreprises et qui ont des maisons à payer, des factures sur le dos, une vie de famille et que ces mêmes entreprises sont sur le point de foutre à la porte.



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