lundi 3 juillet 2017

Gérard Depardieu se débarrasse de ses propriétés parisiennes

D'après le magazine "Soixante-Quinze", l'acteur serait en train de vendre tous les biens immobiliers qu'il possède dans la capitale.

Publié le  | Le Point.fr
Gérard Depardieu a aussi la nationalité russe.
Depuis plusieurs années, l'acteur emblématique du cinéma français ne cache pas son désamour pour son pays natal. En 2013, cet amoureux de la Russie s'était fait remettre un passeport russe par Vladimir Poutine. Dans la foulée de l'élection de François HollandeGérard Depardieu avait établi sa résidence ainsi que le siège social de sa société à Néchin en Belgique. Dans un entretien au Corriere della Sera en 2012, il déclarait même ne plus se sentir français : « Non, je suis un citoyen du monde. La France risque de devenir un Disneyland pour les étrangers, peuplé d'imbéciles qui font du vin et du fromage qui pue pour les touristes. Il n'y a plus de liberté, les gens sont manipulés. » Et la vedette pourrait s'éloigner encore un peu plus de la France, rapporte le magazine Soixante-Quinze .
Dans son numéro de juillet-août, le magazine « des curieux de Paris » consacre sa couverture au « Paris de Depardieu » et s'intéresse particulièrement à la rue du Cherche-Midi dans le 6e arrondissement de la capitale, « son fief ». Seulement, d'après le mensuel, le comédien chercherait « à vendre tout ce qu'il possède dans la capitale ». Et d'appuyer ses dires en expliquant que Gérard Depardieu a déjà vendu la poissonnerie et l'épicerie japonaise dont il était propriétaire. Selon le magazine, il chercherait maintenant à se débarrasser de son immense hôtel particulier de 1 800 mètres, l'hôtel de Chambon.

« Je ne veux plus faire partie de ce pays »

Pour autant, la vedette ne voudrait pas quitter la capitale. Son entourage a précisé à Soixante-Quinze qu'il garde un réel attachement « à cette ville qui l'a fait passer d'inconnu à star ». Peut-être réalise-t-il le vœu formulé en 2015 : « Je crois que je vais tout vendre en France. Je ne veux plus faire partie de ce pays, même si j'aime les Français. [...]Je ne veux plus être propriétaire. Juste aller ailleurs, louer, vivre, et mourir. Et travailler avec des gens que j'aime. »

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