mardi 2 mai 2017

Au marché de Nîmes, des commerçants agressés et interdits de vendre de la charcuterie, du vin, et des «vêtements légers»…

Hier, au marché du Chemin Bas d’Avignon à Nîmes, des musulmans ont menacé les commerçants qui vendent du vin, un boucher qui vend du porc, et un charcutier, ainsi que des commerçants qui vendent des «vêtements légers», et leur ont interdit de revenir sous peine de mort.
Il y a quelques mois déjà, un charcutier qui pourtant avait une bonne clientèle, avait disparu du jour au lendemain sans que personne ne comprenne, témoigne une habitante du quartier.
Au mois de juin, la galerie commerciale du marché avait été totalement incendiée, et les habitants du quartier avaient créé un collectif pour se plaindre de la montée de la violence de jeunes musulmans, sans que rien d’efficace ne soit fait par la municipalité.
Sur le fil ouvert de Radio France Bleue, ce matin, une habitante musulmane du quartier déclare : «je suis à moitié surprise quand même car cela monte dans la communauté. On constate que ce sentiment de communautarisme progresse, les musulmans se renferment sur eux-mêmes».
«Ce sont des musulmans qui se revendiquent d’une lecture extrême de l’islam», dit Morad à l’antenne.
Abdel ajoute «qu’ils retournent chez eux. C’est du racisme. Ce sont des gens qui cherchent la provocation»
Intervient Jacqueline dont on sent dans la voix qu’elle est excédée de subir impuissante cette situation depuis des années dans l’indifférence des pouvoirs publics : «C’est une minorité certes, dit-elle au journaliste de Radio Bleue qui refuse de qualifier cela de racisme, mais c’est une minorité qui empêche les gens de vivre normalement. Si l’inverse s’était produit, cela aurait été sanglant. C’est du racisme anti-blanc, anti chrétien».
«On voit des petites filles de 5 ans voilées, ça fait mal dit Monique qui habite dans la rue. Ils imposent la viande halal, et ils ne veulent pas qu’on mange ce qu’on veut. Plus ça va plus les gens sont voilés. C’est eux qui mettent la pagaille entre les Français»
«Certes c’est une minorité, témoigne José, mais en quelques semaines, ils peuvent pourrir une situation. Nous n’avons rien dit sur les commerces Halal. Ils veulent créer un ghetto. C’est du racisme (le journaliste détourne rapidement l’accusation). Les autorités doivent stopper ça, doivent stopper cet intégriste».
Le bon vivre ensemble a échoué, l’intégration a échoué, la chance pour la France s’est retournée en malédiction. L’islam conquérant avance, les dirigeants de la France et les bienpensants profitent à l’abri.
Jean-Patrick Grumberg, http://www.dreuz.info

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