Les 11 et 18 juin prochains, je solliciterai votre confiance pour continuer à vous représenter à l’Assemblée nationale, comme j’ai l’honneur de le faire depuis 2007. Auguste Verola, élu de terrain par excellence, sera mon suppléant.

 

Le résultat du premier tour de l’élection présidentielle a bouleversé le paysage politique français. Pour la première fois sous la Vème République ma famille politique, celle des gaullistes et des Républicains, n’a pas été représentée au second tour.

 

Monsieur Macron est, désormais, le Président de la France et il doit bénéficier du respect dû à ses fonctions. Néanmoins, je veux vous dire avec gravité que son parcours de ministre et de conseiller de François Hollande m’inquiète fortement. Aujourd’hui, il convient de veiller à ce que ce quinquennat ne se transforme pas en une douloureuse prolongation du mandat de monsieur Hollande.

 

Ce mandat fut une impasse pour notre pays avec plus de chômeurs, plus d’impôts, plus de précarité, plus d’insécurité et plus d’immigration… Et au total, plus de détresse pour les Français. Je suis également préoccupé par la vision communautariste de notre nation exprimée par monsieur Macron. Cette vision rejoint une défiance dangereuse envers notre histoire, notre culture et notre identité qu’il a exprimée en plusieurs occasions.

 

« Il n’y a qu’une seule réponse à la défaite, et c’est la victoire ! » clamait Churchill.

 

Transformons cette belle formule en acte, et portons une majorité de droite et du centre à l’Assemblée nationale pour ériger un solide garde-fou au nouveau président !

 

Face aux dangers du terrorisme islamiste dont notre ville a été la victime, face à la situation économique intenable de notre pays, il est temps de mettre en œuvre l’alternance dont la France a tant besoin.

 

Aujourd’hui la seule vraie alternance ne peut être incarnée que par une droite claire et forte rassemblée derrière François Baroin.

 

Les Français ont besoin de plus de liberté, la France a besoin de plus d’autorité !

 

Je ne vous ai jamais trahis, je suis toujours resté fidèle à mes engagements, à mes convictions, à mes racines.

 

Vous et moi avons l’amour de la France en partage.

 

C’est avec la même énergie et la même passion que je veux défendre demain, en votre nom, nos convictions communes pour la France à l’Assemblée nationale.

 

Je vous donne rendez-vous samedi 13 mai à 10 heures 30 à ma permanence, 15 quai des deux Emmanuel à Nice, pour le lancement de ma campagne.