Sandra Frey burger
A vérifier puis à surveiller de près
EDITO
"Je croyais que depuis l'affaire Fillon, faire travailler les membres de sa famille était mal vu.
Visiblement pas pour les Macron ou ils savent s'organiser :
Sébastien AUZiERE, fils de Brigitte Macron, est vice-président de la société KANTAR-HEALTH. Cette société est composée de capitaux QATARIS… et a acheté l’institut de sondage SOFRES. Elle se nomme aujourd’hui KANTAR-TNS-SOFRES…
"Le QATAR manipule les sondages d’opinion faits sur l’électorat Français avec ses hommes dans la place …
Macron a été le candidat préféré des Frères musulmans, l’UOiF ayant appelé à le soutenir.
Hormis la présence anecdotique signalée de l’islamiste Soufiane Iquioussen, dans une réunion d’ «En Marche!» à Bouchain dans le Nord, il y a d’autres cas troublants : de la commune de Oignies dans le Pas-de-Calais, à Bordeaux dans le Sud-Ouest, jusqu’à Mulhouse dans l’Est, en passant par Paris, des soutiens d’Emmanuel Macron, des islamistes (ou au service inconscient de l’islamisme conquérant) s’appellent : Noureddine Aoussat, Rachid El-Kheng, Yanis Khalifa, Yaman Mahfoud, et la meilleure pour la fin, une certaine Fatima Jenn et ses principaux soutiens : Anouar Sassi et Aziz Senni (…)
Emmanuel Macron lui-même expliquait hors-antenne le vendredi 14 avril 2017, sur la radio Beur FM au sujet de Mohammed Saou, son ex-référent du Val-d’Oise: «Il a fait quelques trucs radicaux, c’est ça qui est compliqué, mais c’est un type bien Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré ! »
Très, très curieux, non ce président de la République aujourd’hui chef de nos armées ?
Ce qui est certain, c’est que des candidats pour les législatives, notoirement islamistes, soutenant Macron ou pas, sont déjà dans les starting-blocks, ici où là.
Ils sont jeunes adultes, issus de la frérosphère et s’appellent : Yassir Louati, Jimmy Parrat, Jamel Oufqir, Hanan Zahouani, Abdelkrim Marchani, Samy Debah, etc…
D’autres candidats issus du parti islamo-turc, le «Parti Egalité et Justice», proche de l’AKP d’Erdogan, pourraient présenter des dizaines de candidats, revendiquant leur communautarisme, comme aux départementales de 2015.
Par conséquent, le risque de voir quelques islamistes occuper des sièges au Palais Bourbon, au nom de la diversité, lors de la prochaine législature, est bien réel.
«En Marche ! », comme d’autres formations, pourrait leur offrir cette opportunité tant rêvée, tel un Cheval de Troie qui s’ignore dans la complaisance…" (Via René Lebref)
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