TRÈS IMPORTANT LIRE CET ARTICLE. CELA CONCERNE LA DÉFENSE DE F.FILLON. MERCI
Louise Georges Var
Les
termes de" coup d’Etat institutionnel" définissent parfaitement les
manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de
l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.
Le
pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de
détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette
vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà
coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale
qui était d’avance vouée à l’échec.
Le
candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait
déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes
lors de primaires irréprochables.
Il
fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des
faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi.
L’allégation d’un "détournement de fonds publics" est contraire aux
termes du code pénal et incompatible avec les principes
constitutionnels.
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