Bien que Ségolène Royal ait été destituée de ses fonctions de ministre de l’Environnement, la politicienne bénéficierait toujours d’une garde rapprochée aux frais de l’État.
En tant que nouveau président de la République, Emmanuel Macron a pu composer son gouvernement. Malheureusement pour Ségolène Royal, elle n’était pas dans les petits papiers de ce dernier qui a préféré la remplacer par Nicolas Hulot. Cela va donc faire bientôt deux mois qu’elle a été écartée de ses fonctions et pourtant; elle profiterait toujours d’un avantage qui ne devrait plus lui être accordé.
Ségolène Royal : Une garde rapprochée dont elle ne devrait plus bénéficier
D’après les informations de Closer, Ségolène Royal continuerait de profiter d’une garde rapprochée. Loin de se contenter d’un seul policier pour assurer sa sécurité, c’est quatre agents qui l’accompagneraient. Nos confrères précisent que c’est bien évidemment l’État qui payerait pour cela !
Deux chauffeurs et deux officiers de sécurité du service de la protection (SDLP) se relaient en effet à raison de deux par semaine, pour veiller sur elle 24 heures sur 24.
Le service de la protection aurait même dû prendre des hommes devant assurer la sécurité de l’ex-Impératrice Farah Pahlavi (veuve de Mohammad Reza Pahlavi) pour Ségolène Royal.
Contrairement aux anciens présidents de la République, aux anciens Premiers ministres ou aux anciennes ministres de la Justice ; les anciens ministres n’ont, en aucun cas, le droit de continuer à avoir une garde rapprochée aux frais de l’État.
Le seul moyen de pouvoir encore bénéficier d’un tel avantage, en dehors des exceptions citées plus haut, est d’être en possession d’un secret d’État. Peut-être est-ce le cas de madame Royal…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire