jeudi 17 août 2017

Un migrant veut un logement «tout de suite», il incendie la mairie d’Annecy. 100000€ de dégâts

De Mike Borowski, Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer
On va dire que je m’acharne sur les migrants, que dans le fond ce sont de pauvres bougres fuyant dictature, misère et ayant d’après les « Pravdas » des diplômes longs comme des bras. Ils seraient d’après eux docteurs renommés, physiciens, avocats, PDG d’entreprises côtés au NASDAQ, chercheurs dans les maladies génétiques ou ingénieurs. En fait nous Français sommes des cons, nous refusons la crème de la crème, des chances pour la France, des gens sur-éduqués, sur-socialisés. Tout ce qui visiblement nous manque.
Plus c’est gros, plus ça passe. Je connais le mépris des élites mondialisées vis-à-vis du peuple de France mais il y a plus que ça dans leurs écris, il y a comme une totale impunité faisant de nous des moutons croyant la moindre divagation d’un militant du « vivre-ensemble », du remplacement des « gaulois » par des populations totalement étrangères à nos us et coutumes. Crachant sur notre histoire et arrachant notre générosité. Notre système social auquel je souscris de moins en moins étant donné qu’il appelle à la paresse et non à une aide ponctuelle dans la difficulté, a pour origine d’apporter une main tendue à nos nationaux et non aux premiers venus d’un pays autre.
Nous n’avons aucune obligation envers ces gens, aucune. Les anglais eux qui ont toujours privilégiés les leurs, n’ont pas ces états-d’âmes. Ils ne veulent pas de tous ces génies et nous demandent de faire la Police, de les arrêter à nos frontières. Personne à Londres ne manifeste pour ces intrus au contraire de nos bourgeois de la Gauche caviar exigeant des papiers et des logements mais loin de leurs beaux appartements. Ce qu’ils obtiennent avec une facilité déconcertante, comprenez on ne peut rien refuser à ces clandestins venus en toute illégalité.
Pendant ce temps-là, les chiffres de l’hébergement d’urgence tombent, ils ont encore augmenté, près de 26% en seulement 3 ans. Aujourd’hui nous comptons plus de 770 000 demandes de SDF Français vivant à la rue, malades, sales, désocialisés, cherchant un travail, un toit et de la dignité. Des chiffres toujours plus inquiétants et des spécificités nouvelles. Nous ne sommes plus à l’époque de ce qu’on appelait quand j’étais môme du clochard un peu ermite, un peu philosophe, homme seul, mais dans une misère collective. Les familles et mineurs représentant 60% de ces demandes. Des femmes, des enfants, des jeunes, des vieillards, des classes moyennes qui s’effondrent, des travailleurs n’ayant le sou pour se loger.
Les nôtres qu’on abandonne, qu’on jette dehors, qu’on refuse de loger ou alors dans des taudis, pour venir en aide aux nouveaux colons. A Paris, à Bordeaux, ou en Bourgogne nos collectivités locales sur ordre de l’Etat construisent de beaux logements pour ce qu’on appelle les migrants. Pour ces derniers, ils éjectent parfois les occupants de certains hébergements d’urgences comme à Nanterre. Rien n’est jamais trop. Le gîte, le couvert, et la petite allocation doivent le premier message de bienvenu face à l’envahisseur.
A côté de ça, ceux qui parmi nos compatriotes souffrent et parfois meurent dans l’indifférence appellent le 115, le Samu social, ils s’entendent dire comme l’explique M. Florent Gueguen, le directeur de la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale (Fnars) que leurs demandent sont refusés. Ainsi, seuls 17% d’entre eux sont hébergés.
Malgré que nos élites cosmopolites donnent encore et toujours à ces clandestins, devenus migrants puis réfugiés et peut-être bientôt on les appellera les « messies venus sauver la France », et ce n’est jamais assez. Je prends l’exemple de ce faits-divers relaté par Valeurs Actuelles un soudanais de 28 ans à qui l’on a permis d’être réfugié ici avec tout ce que cela comporte de coût pour la collectivité, et bien parce que ce monsieur n’a pas eu de logement dans la minute, il faut bien remplir un dossier, faire des démarches administratives, il s’est cru bon de faire sa loi et ainsi mettre le feu à la mairie. Résultat 100 000€ de dégâts. Ces gens sont des sauvages, leur place n’est pas en France, ni même en Europe, elle est dans leur pays, chez eux. Ils sont inassimilables et représentent de futurs dangers pour le pays.
Parfois on me pose la question du pourquoi de ces agissements de nos politiques. Sont-ils bêtes, fous ? Un môme de 5 ans ferait différemment. Est-ce calculé ? Est-ce une vision idéologique ? Je pense moi qu’il s’agit d’un peu tout à la fois, moi qui ai fréquenté des années durant les institutions comme attaché parlementaire, je peux dire que les pontes qui nous gouvernent dans un autre pays n’auraient même pas la capacité de balayer les rues. Et il faut vraiment avoir été à l’intérieur pour le comprendre. Ils sont lâches, ils sont faibles, ils sont idiots (évidemment j’y inclus les femmes), mais ils continuent à nuire. Jusqu’à quand ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire