vendredi 21 avril 2017

Macron favori ? Et si on prenait les paris !

Au dernier moment, dans l’isoloir, les Français, même s’ils doivent se boucher le nez, choisiront par leur vote de ne pas se faire voler cette élection.
Alors que la dernière ligne droite de cette élection complètement folle se jouera dès dimanche, il m’apparaît de plus en plus clairement que le grand favori des élites ne se qualifiera pas pour cette grande finale.
Se hasarder aux pronostics est toujours risqué et le retour de bâton peut être violent, mais au diable les précautions d’usage : je ne suis pas sondeur, je ne suis pas journaliste et encore moins voyant. Tout au plus puis-je me targuer d’avoir vu Trump, le Brexit et Fillon.
Emmanuel Macron est un produit, une créature. Le « système », comme il est convenu de l’appeler, a sauté sur l’occasion, trop belle. Imaginez : trentenaire, financier, malléable, beau gosse, libéral sur le plan fiscal et sociétal, inexpérimenté. Une marionnette façonnable, le nouveau Kennedy, le nouveau Trudeau. Une occasion qui ne se présente qu’une fois par siècle, et encore.
Un candidat qui achèverait l’entreprise funeste des mondialistes cosmopolites de tout bord : abolir les frontières, abolir les cultures, abolir les ultimes barrières entravant la finance. Macron n’a d’avis sur rien et est donc perméable aux forces qui se sont accaparées son personnage. Pierre Bergé, Patrick Drahi, George Soros, Mohamed Saou et tant d’autres.
Alors que la dernière ligne droite de cette élection complètement folle se jouera dès dimanche, il m’apparaît de plus en plus clairement que le grand favori des élites ne se qualifiera pas pour cette grande finale.
Se hasarder aux pronostics est toujours risqué et le retour de bâton peut être violent, mais au diable les précautions d’usage : je ne suis pas sondeur, je ne suis pas journaliste et encore moins voyant. Tout au plus puis-je me targuer d’avoir vu Trump, le Brexit et Fillon.
Emmanuel Macron est un produit, une créature. Le « système », comme il est convenu de l’appeler, a sauté sur l’occasion, trop belle. Imaginez : trentenaire, financier, malléable, beau gosse, libéral sur le plan fiscal et sociétal, inexpérimenté. Une marionnette façonnable, le nouveau Kennedy, le nouveau Trudeau. Une occasion qui ne se présente qu’une fois par siècle, et encore.
Un candidat qui achèverait l’entreprise funeste des mondialistes cosmopolites de tout bord : abolir les frontières, abolir les cultures, abolir les ultimes barrières entravant la finance. Macron n’a d’avis sur rien et est donc perméable aux forces qui se sont accaparées son personnage. Pierre Bergé, Patrick Drahi, George Soros, Mohamed Saou et tant d’autres.

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