Aujourd’hui, les affrontements ethniques, c’est en France !
Malgré le silence de l’État et des médias, les migrants continuent à affluer…
Ancien officier de Gendarmerie
Diplômé de criminologie et de criminalistique
– Jeudi soir 13 avril : une cinquantaine d’Afghans et de Soudanais s’affrontent porte de la Chapelle à Paris, rapporte Le Parisien.
Après de premiers incidents entre réfugiés en marge d’une distribution
alimentaire en début de soirée devant le centre du boulevard Ney, une
rixe impliquant plus d’une cinquantaine de migrants, Afghans d’un côté
et Soudanais de l’autre, éclate vers 23 heures. Les migrants des
différentes communautés, dont certains armés de bâtons ou de barres de
fer, se sont battus sur la voie publique. Une centaine de réfugiés
auraient profité de la confusion pour escalader les grilles du site et
pour s’introduire dans la halle d’hébergement. Malgré l’intervention
d’importants effectifs policiers, le calme n’a été rétabli que plusieurs
heures après. Une vingtaine de migrants ont été blessés « légèrement »
et un jeune homme frappé à coups de bâton voit son pronostic vital
engagé.
– Lundi 10 avril, camp de migrants de Grande-Synthe, près de Dunkerque : après une rixe entre Afghans et Kurdes, qui fait dans l’après-midi six blessés à l’arme blanche, un violent incendie ravage l’essentiel des 300 chalets. Vers minuit, le camp dit de La Linière, voulu par le maire écologiste de la commune Damien Carême, est réduit en cendres. Il sera impossible de remettre des cabanons à la place de ceux qui existaient auparavant, a déclaré à la presse le préfet du Nord, accouru sur place depuis Lille. Cet ensemble comptait 1.500 migrants. Ce camp, réputé pour être tenu par des passeurs kurdes irakiens, avait été le théâtre de plusieurs incidents sérieux ces derniers mois, nécessitant chaque fois le déplacement de la police.
– Lundi 20 mars 2017 à Avranches (Manche) : une rixe entre réfugiés éclate entre deux personnes avant de virer au drame. Selon les informations, un homme serait mort après avoir reçu un coup de couteau à la gorge.
Un autre, peut-être le porteur du coup mortel, aurait été blessé
et transporté à l’hôpital. Un important déploiement de forces de
sécurité a été disposé autour du centre hospitalier. Le drame serait
survenu au sein d’un logement géré par le centre d’accueil des
demandeurs d’asile.
– Lundi 13 février, en Flandre intérieure : en début de soirée, vers
20 h 45, le gérant de la station Total, située sur l’aire du
Saint-Laurent sur la A25, appelle les forces de l’ordre. Sur place, une
centaine de migrants en sont venus aux mains. Selon les CRS, des
Soudanais s’opposaient à des Érythréens. Les CRS sont aussitôt
intervenus, renforcés par deux autres équipes. La plupart des migrants
se sont dispersés à leur arrivée. Les pompiers ont opéré pour prendre en
charge les blessés. La rixe a fait un blessé grave et six blessés
légers répartis entre les hôpitaux de Dunkerque, Hazebrouck et
Armentières. Une mini-jungle existant à proximité de l’aire avait été
démantelée en juillet 2016 mais, depuis, les réfugiés sont revenus en
janvier. Un mini-camp a, notamment, alors été démantelé. Un responsable
d’association confiait à La voix du Nord que l’on constatait de plus en plus un retour des migrants.
Deux points sont à retenir sur ces troubles intracommunautaires qui n’ont pas cessé ces deux derniers mois :
Le premier : les affrontements opposent, pour une tente ou un logement, Somaliens, Érythréens, Afghans ou Kurdes. Une réalité qui démontre que, même chez les clandestins, le multiculturalisme ne fonctionne pas et que les bagarres intracommunautaires peuvent s’étendre comme une traînée de poudre.
Le deuxième : malgré le silence de l’État et des médias, les migrants continuent à affluer, venant de la Turquie et de toute l’Europe, notamment d’Allemagne, depuis que la chancelière a pris la décision de restreindre sa politique migratoire.
– Lundi 10 avril, camp de migrants de Grande-Synthe, près de Dunkerque : après une rixe entre Afghans et Kurdes, qui fait dans l’après-midi six blessés à l’arme blanche, un violent incendie ravage l’essentiel des 300 chalets. Vers minuit, le camp dit de La Linière, voulu par le maire écologiste de la commune Damien Carême, est réduit en cendres. Il sera impossible de remettre des cabanons à la place de ceux qui existaient auparavant, a déclaré à la presse le préfet du Nord, accouru sur place depuis Lille. Cet ensemble comptait 1.500 migrants. Ce camp, réputé pour être tenu par des passeurs kurdes irakiens, avait été le théâtre de plusieurs incidents sérieux ces derniers mois, nécessitant chaque fois le déplacement de la police.
– Lundi 20 mars 2017 à Avranches (Manche) : une rixe entre réfugiés éclate entre deux personnes avant de virer au drame. Selon les informations, un homme serait mort après avoir reçu un coup de couteau à la gorge.
Deux points sont à retenir sur ces troubles intracommunautaires qui n’ont pas cessé ces deux derniers mois :
Le premier : les affrontements opposent, pour une tente ou un logement, Somaliens, Érythréens, Afghans ou Kurdes. Une réalité qui démontre que, même chez les clandestins, le multiculturalisme ne fonctionne pas et que les bagarres intracommunautaires peuvent s’étendre comme une traînée de poudre.
Le deuxième : malgré le silence de l’État et des médias, les migrants continuent à affluer, venant de la Turquie et de toute l’Europe, notamment d’Allemagne, depuis que la chancelière a pris la décision de restreindre sa politique migratoire.
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