L’électorat de droite est particulièrement remonté. Très, très remonté.
La
colère populaire est immense, elle reste cependant très contenue par
les électeurs qui attendent avec impatience de déposer dans l’urne leur
bulletin François Fillon.
Depuis trois mois en effet, les médias aux ordres de forces tentaculaires ont décidé que François Fillon ne serait pas le prochain président de la République. Ils ont estimé que c’était à eux de choisir et que le peuple allait devoir se soumettre aux sondages truqués qu’ils allaient lui produire.
Alors, le candidat sorti favori des primaires largement plébiscité par le peuple de droite – tout le peuple de droite – a eu le droit de subir toutes les calomnies, les diffamations et les manipulations, y compris de son propre camp. L’objectif était clairement d’empêcher qu’un candidat conservateur ouvertement catholique, gaulliste et patriote ne gagne les élections, et cela aux profit d’une marionnette socialiste qui allait continuer l’opération de destruction systématique de notre pays, de sa culture, de son économie, de ses familles et de son histoire.
L’attaque a été tellement violente et forte qu’une partie de l’électorat de droite a pu être déstabilisée en premier lieu, subissant de plein fouet cette agression antidémocratique, ce coup d’État inédit dans l’Histoire de France.
L’objectif était de détruire le seul homme qui pouvait redresser la France et de faire en sorte de favoriser un duel Macron-Le Pen, afin que l’électeur n’ait que le seul choix de faire élire le pire représentant de la gauche, l’héritier en ligne directe du hollandisme décadent.
Mais la manipulation en marche ne fonctionnera pas ! Les Français ne se laisseront pas abuser par les Trissotin qui ont accéléré la destruction de la France en si peu de temps.
Les médias et les sondages avaient souhaité un non au Brexit : ce fut le Brexit qui fut victorieux. Les médias et les sondages avaient souhaité l’élection de Clinton : ce fut Trump qui fut élu.
Les médias et sondages placent maintenant François Fillon
en « quatrième position » (sic) : le soir du 23 avril, il sera en pole
position ! En effet, les médias, dans leur analyse autistique de la
situation, raisonnent avec des paradigmes totalement dépassés, en
s’appuyant sur des sondages dont la crédibilité est aujourd’hui nulle.
Si bien que l’on voit des analystes ou des journalistes commenter en
boucle une actualité déconnectée de la réalité.
Et la réalité, c’est que l’électorat de droite est particulièrement
remonté. Très, très remonté. Cette colère se cristallise au profit de
Francois Fillon qui, par la violence qu’il a subie et le courage qu’il a
exprimé, constitue l’homme à abattre pour le système et, donc, l’homme à
élire pour le peuple.
Ce constat est conforté par le fait que la porosité entre l’électorat de François Fillon et celui de Marine Le Pen n’a jamais été aussi forte. Beaucoup d’électeurs de Marine Le Pen – y compris parmi des électeurs historiques – vont préférer voter pour François Fillon afin d’éviter le risque du maintien de la gauche au pouvoir, mais aussi en raison de l’attitude dévastatrice récente de la candidate vis-à-vis de sa nièce Marion Maréchal-Le Pen, très appréciée dans l’électorat conservateur de Fillon.
Il reste, cependant, qu’il faut être conscient qu’un très grand nombre d’électeurs de François Fillon sont prêts à se mobiliser pour Marine Le Pen si leur candidat devait être exclu du premier tour. Cet aspect est totalement passé sous silence par les médias, à l’exception de Libération, qui a titré récemment : « Et si c’était quand même lui ! » Preuve que ce média plutôt « hamonmélanchoniste » a parfaitement intégré la forte mobilisation des réseaux de la droite conservatrice et radicale issue des grandes Manif pour tous.
Le titre du quotidien est incontestablement annonciateur : le 23 avril, François Fillon incarnera par sa première place cet esprit de résistance !
Depuis trois mois en effet, les médias aux ordres de forces tentaculaires ont décidé que François Fillon ne serait pas le prochain président de la République. Ils ont estimé que c’était à eux de choisir et que le peuple allait devoir se soumettre aux sondages truqués qu’ils allaient lui produire.
Alors, le candidat sorti favori des primaires largement plébiscité par le peuple de droite – tout le peuple de droite – a eu le droit de subir toutes les calomnies, les diffamations et les manipulations, y compris de son propre camp. L’objectif était clairement d’empêcher qu’un candidat conservateur ouvertement catholique, gaulliste et patriote ne gagne les élections, et cela aux profit d’une marionnette socialiste qui allait continuer l’opération de destruction systématique de notre pays, de sa culture, de son économie, de ses familles et de son histoire.
L’attaque a été tellement violente et forte qu’une partie de l’électorat de droite a pu être déstabilisée en premier lieu, subissant de plein fouet cette agression antidémocratique, ce coup d’État inédit dans l’Histoire de France.
L’objectif était de détruire le seul homme qui pouvait redresser la France et de faire en sorte de favoriser un duel Macron-Le Pen, afin que l’électeur n’ait que le seul choix de faire élire le pire représentant de la gauche, l’héritier en ligne directe du hollandisme décadent.
Mais la manipulation en marche ne fonctionnera pas ! Les Français ne se laisseront pas abuser par les Trissotin qui ont accéléré la destruction de la France en si peu de temps.
Les médias et les sondages avaient souhaité un non au Brexit : ce fut le Brexit qui fut victorieux. Les médias et les sondages avaient souhaité l’élection de Clinton : ce fut Trump qui fut élu.
Ce constat est conforté par le fait que la porosité entre l’électorat de François Fillon et celui de Marine Le Pen n’a jamais été aussi forte. Beaucoup d’électeurs de Marine Le Pen – y compris parmi des électeurs historiques – vont préférer voter pour François Fillon afin d’éviter le risque du maintien de la gauche au pouvoir, mais aussi en raison de l’attitude dévastatrice récente de la candidate vis-à-vis de sa nièce Marion Maréchal-Le Pen, très appréciée dans l’électorat conservateur de Fillon.
Il reste, cependant, qu’il faut être conscient qu’un très grand nombre d’électeurs de François Fillon sont prêts à se mobiliser pour Marine Le Pen si leur candidat devait être exclu du premier tour. Cet aspect est totalement passé sous silence par les médias, à l’exception de Libération, qui a titré récemment : « Et si c’était quand même lui ! » Preuve que ce média plutôt « hamonmélanchoniste » a parfaitement intégré la forte mobilisation des réseaux de la droite conservatrice et radicale issue des grandes Manif pour tous.
Le titre du quotidien est incontestablement annonciateur : le 23 avril, François Fillon incarnera par sa première place cet esprit de résistance !
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