J'ai compris jeudi dernier les raisons de la victoire de François Fillon à la primaire de notre famille politique... Un peu tard certes, mais je l'ai compris.
Sarkozyste depuis toujours car l'homme était un leader en mesure de redonner sourire aux plus pessimistes, je regardais le triste François de l’œil torve de celui qui observe un insecte noir. Je le pensais au sang froid du serpent qui siffle et frappe, n'éprouvant aucune émotion et lustrant des yeux ses souliers.
Au delà du programme que nous connaissons et des valeurs que nous partageons.
J'ai découvert jeudi un homme ferme, déterminé qui de manière flegmatique va bien au-delà du programme de Nicolas Sarkozy.
J'ai découvert jeudi un homme pugnace et courageux qui malgré les tomates et autres missiles a fait le choix de la France...quand le naguère Dominique Strauss-Kahn avait opté pour l'abandon, car seul le "pouvoir" sans faille et sans reproche télescopait son regard fuyant.
J'ai également découvert jeudi un provocateur d'émotion et d'humanité. Et cela, je l'avais occulté... Il aime la France et nous entraînera, nous les forces vives vers une nouvelle ère, plus franche, plus positive et plus vraie...plus ensoleillée pour nos jeunes..
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Autour de moi, des jeunes et moins jeunes laissaient glisser une perle salée sur leur joue en entonnant la Marseillaise. Rhume des foins de France probablement.
Il est notre dernière chance...Il est une belle et authentique chance.
"Avant de partir au combat, les soldats de l’an II gravaient « Vive la Nation » sur l’acier de leurs sabres. Pensons à cette devise. Celle d’un peuple uni, toujours courageux quand il s’agit de surmonter les épreuves.
Je crois au souffle de la Nation qui pousse toujours nos voiles vers le large. Je crois à une Nation indivisible, fille de Jeanne d’Arc et de De Gaulle, souveraine par destin et universelle par vocation." François Fillon-Toulouse
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