Entendons-nous bien, ceux qui me lisent le savent très bien, je suis globalement contre l’assistanat socialiste, cette politique visant à faire de nos compatriotes des mendiants tendant la main envers un état finançant cette manne par le travail des Français, enfin de ceux qui suent chaque jour et qui dans le fond n’ont que le mépris et l’ingratitude d’un pouvoir spoliateur. Ces fausses-aides si cela ne tenait qu’à moi seraient supprimées même pour les Français d’origines, la crédibilité devant être de mise, ne pouvant accepter l’assistanat des étrangers on doit le refuser pour les autres, ou plutôt pour ces professionnels de la récupération de l’aide sociale.
Après ce que je n’admets pas dans la France socialiste c’est cet éternel deux poids, deux mesures, s’attaquant constamment aux faibles, à ceux n’ayant aucun moyen de se défendre. Cette sanction à deux vitesses, contre celle des citoyens lambda qui à la moindre incartade même la plus minime paiera très cher. Et celle des autres des intouchables de ceux pays, ceux pour qui tout est permis, que nos gouvernants nomment « nos chances pour la France ».
Oui il existe de vrai pauvre ici-bas et malheureusement ils sont plus souvent Français que de la diversité.
Je vais donner un exemple précis et vous comprendrez ces décisions à deux vitesses. Au tribunal de Bobigny plus précisément celui des enfants. C’est le nom administratif qu’on lui donne, car ne vous imaginez pas y voir des enfants. Sauf à penser que des grands gaillards d’1m80 et 80 kilos soient encore des enfants. Bref s’il vous prend l’envie d’y aller passer ne serait-ce qu’une matinée, vous y trouverez un défilé de jeunes dealers, violeurs, voleurs, cambrioleurs, braqueurs et tout ce que notre société compte de rebus. Souvent ces voyous ressortent avec un rappel à la loi, ce qui signifie en gros que le juge rappel au délinquant qu’il n’a pas le droit de faire ce qu’il a fait. Souvent ces juges le font 40, 50 voire 100 fois à la même personne avant que celle-ci n’ait une quelconque condamnation souvent minime. Pendant nombre d’années le président de ce tribunal M. Jean-Pierre Rosenczveig, depuis très récemment à la retraite, était surnommé par l’ensemble des dealers de Seine-Saint-Denis « Petit Papa Noel », puisque celui-ci ne condamnait jamais personne. Il en avait d’ailleurs une certaine fierté de le dire. Ceux-là ne verront jamais leurs allocations diminuées ou même supprimées, elles seront maintenues comme toujours et continueront à loger des HLM qu’ils ne paient jamais, j’invite à nouveau à mettre leur nez dans les comptes des collectivités locales de chez eux et verront nombre d’abandons de créance vis-à-vis de gens vivant à l’œil. J’en ai fait l’amère expérience lorsque jeune attaché parlementaire au Sénat j’ai dû analyser l’audit de la ville de Pierrefitte, cela se chiffrait en millions d’euros par an.
Evidemment contre la maman de Mylénia, l’administration est impitoyable. Cette pauvre jeune femme doit payer, puisqu’elle est de ceux que nos élites cosmopolites jugent coupables de tous les maux, elle représente la France, ses aïeux sont forcément esclavagistes, colonisateurs, vichystes, elle est donc le diable. Elle n’a droit à aucune pitié. Au contraire de nos criminels en herbe ceux-ci sont d’après nos gouvernants les vrais victimes d’une France dite raciste.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire