Le lourd silence des médias sur l'attaque islamique au cri d’Allah akbar contre un agriculteur
On nous parle beaucoup aujourd’hui de l’attentat des Champs Elysées contre les gendarmes, qui n’a fait aucune victimes dans leurs rangs, mais que dire de l’attaque à l’arme blanche au cri d’Allah akbar en pleine campagne de la part d’un islamiste fiché S et assigné à résidence, contre un agriculteur sur sa moissonneuse-batteuse ? La guerre de laquelle Emmanuel Macron disait qu’il fallait s’y habituer, s’étend à tout le territoire, mais tout n’est pas rapporté.
L’agresseur de l’exploitant agricole à Laroque-Timbaut (47), âgé de 41 ans, était assigné à résidence depuis août dernier pour apologie du djihadisme, à la suite d’un arrêté du préfet de Lot-et-Garonne Patricia Willaert.
Dimanche vers 21 heures, un exploitant agricole de 56 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche alors qu’il se trouvait dans un champ à Laroque-Timbaut, entre Agen et Villeneuve-sur-Lot. Il se trouvait dans la cabine d’un engin agricole quand un individu a stoppé son scooter au bord de la D 130. L’agriculteur a cherché à savoir ce qu’il voulait. La discussion et le face-à-face ont tourné court.
Selon des indications fournies, l’individu en question aurait alors brandi une arme blanche et aurait porté plusieurs coups de couteau à l’agriculteur, sous les yeux d’un collègue venu l’aider pour ces travaux agricoles. Ce dernier aurait entendu « Allah Akbar » au moment de l’agression.
L’agresseur a ensuite été interpellé par ces mêmes gendarmes dans les sous-bois d’un lac situé à moins de cinq kilomètres de l’endroit où l’agriculteur été blessé.
Ce père de famille, vivant seul et sans emploi, est en garde à vue depuis dimanche. L’assignation à résidence prévoyait que cet Agenais passe tous les jours à la gendarmerie d’Agen pour attester de sa présence dans l’agglomération agenaise. Un autre Agenais, de 20 ans, est également entre les mains des gendarmes qui cherchent à connaître le degré de responsabilité de l’un et de l’autre dans l’agression de l’exploitant agricole. Qui se trouvait dans le Renault Scénic propriété du quadragénaire ? Qui pilotait le scooter ? Les versions varient depuis ce matin. L’agresseur aurait crié « Allah Akbar ».
Les syndicats agricoles appellent à un rassemblement ce soir 21 heures à Laroque-Timbaut, pour protester contre « cette agression d’une extrême violence. » Source: La Dépèche
La victime a été opérée, sitôt arrivée aux urgences…
Dimanche, aux alentours de 21 heures, un entrepreneur agricole qui moissonnait en bordure de départementale 310 à Laroque-Timbaut, en direction de Bajamont, a été la cible d’une violente agression.Un individu juché sur un scooter, circulant sur la route à proximité du terrain, est descendu de son deux-roues, suivi par le conducteur d’un Scénic. Ce dernier est entré dans le champ, et s’est approché de l’entrepreneur agricole et de son collègue, postés dans la cabine de la moissonneuse-batteuse.L’agriculteur, un Roquentin de 56 ans, est descendu pour savoir ce que l’homme, debout face à sa machine voulait. Avant de recevoir de sa part, un violent coup de couteau au niveau de l’épaule.Le pronostic vital ne serait pas engagéL’assaillant, décrit comme jeune, aurait crié « Allah Akbar », avant de commettre son geste. Il aurait également eu une autre arme en sa possession, semblable à une batte de base-ball, dont il n’a pas fait usage.Le deuxième agriculteur présent sur le champ est venu au soutien de son collègue, avant que l’agresseur ne prenne la fuite. La victime a été opérée, sitôt arrivée aux urgences. Malgré la gravité de ses blessures, son pronostic vital ne serait pas engagé.L’agresseur présumé serait connu des services de renseignementsUn suspect aurait été arrêté par la police peu de temps après les faits. L’agresseur présumé, âgé d’une quarantaine d’années, serait connu par les services de renseignement comme une personne susceptible de s’être radicalisée. Un deuxième individu, d’une vingtaine d’années a également été interpellé à Agen dans la foulée. L’enquête, qui ne fait que débuter, devra déterminer s’il s’agit d’un complice.Pour l’heure, les deux Agenais sont entendus par les enquêteurs de la brigade de recherches de gendarmerie, dans le cadre de leur garde à vue.Les techniciens d’identification criminelle ont passé le champ et ses abords au peigne fin jusque tard dans la nuit. Ces derniers sont revenus ce lundi matin, à la recherche de nouveaux indices, et notamment de l’arme. Le couteau de l’agresseur n’aurait pas été retrouvé.
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