Quand on pense que Mme de Sarnez faisait partis de la meute qui s’attaquait à François Fillon sur ses questions relatives à ses emplois familiaux. Alors entendons-nous bien je ne vais pas être ici avocat de l’ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy, il en est je pense assez bien pourvu. Seulement il est assez cocasse que des personnalités politiques pratiquant l’embauche familiale se laissent aller à la vindicte sur ces questions.
Je pensais naïvement et peut-être cela vire à l’imbécilité, mais j’imaginais que lorsqu’on était soi-même mouillé par les affaires et bien on qu’on avait un minimum de tenu, qu’on rasait les murs, qu’on essayait de pas trop se faire voir.
C’était un autre temps, nous ne sommes plus à cette époque, aujourd’hui nous pourrions assister aux rodomontades du célèbre assassin Michel Fourniret contre un de ses congénères prenons Guy Georges, faisant la morale car dans le fond ce qu’il fait c’est pas bien et pas gentil.
Voilà où nous en sommes Mme de Sarnez s’insurgeant contre l’emploi de Pénélope, alors qu’elle fait travailler son fils, sa sœur et son neveu comme assistant parlementaire. C’est pas du foutage de gueule ?
Un proverbe antillais dit « lorsqu’on n’a pas les fesses propres on ne monte pas sur le cocotier », l’éphémère ministre de Macron devrait en prendre de la graine.
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